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Titre du blog : AVEC ALI BONGO ONDIMBA,UN GABON EN OR EST POSSIBLE
Auteur : TOUS-POUR-ALI-BONGO
Date de création : 21-07-2009
 
posté le 12-08-2009 à 10:38:51

PETIT A PETIT LES MASQUES TOMBENT....

Le malheur qui a frappé en début de cette année le Gabon, avec la perte tour à tour, de l’épouse du chef de l’Etat, suivie quelques mois après, de lui-même, a permis à son PDG (Parti démocratique gabonais), de constater qu’en réalité, en lieu et place d’une véritable plate forme politique appelée encore majorité présidentielle, c’était plutôt un grand grenier où pullulaient, d’énormes « rats » qui ont vite fait de sauter de l’autre côté, dès l’annonce du décès du père fondateur de cette formation politique, creuset de l’unité nationale. Comme quoi, les masques sont enfin tombés.

 

 

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Si Omar Bongo Ondimba est mort, il a également été tué d’une seconde mort, celle de ses anciens lieutenants, peut – être de façade, qui se réclament tous d’être ses héritiers. Mais, au regard de la tournure que prend la période d’avant campagne, on est tenté de croire que ces hommes et femmes ont longtemps trompé le président Bongo Ondimba en lui faisant croire que tout allait pour le meilleur des mondes possibles. 

 

Or, la logique et la bienséance voudraient qu’en pareille circonstance, que ceux qui crient à tort d’être les héritiers du père de la paix et du dialogue se concertent autour de sa famille s’il est tant bien que nous aimons OBO, nous devrions tous nous unir et faire bloc autour de ce part démocratique gabonais qu’il a créé et implanté sur l’ensemble du territoire national.

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 Premiers ministres et Ministres d’Etat hier, ceux-là mêmes qu’Omar Bongo Ondimba a façonnés et hissés au firmament de la vie politique du Gabon et du continent sont curieusement devenus, des « Anges » du nationalisme au point de considérer le fils biologique d’Omar Bongo Ondimba comme un imposteur. Le tort n’est pas à celui qui leur a tout donné en leur permettant d’accéder à certaines fonctions. Mais, il faut dire une chose.

 

Si le Grand Camarade, président fondateur du PDG revenait en vie maintenant, qui sont ceux de ses anciens premiers ministres et ministres pourraient le regarder dans les yeux sans baisser la tête ? Le « Roi » est mort, vive le roi », peut-on dire. Mais, il ne s’agit pas simplement d’agiter le spectre de la violence à tout bout de chemin. Il faut avoir les moyens de la contenir. 

 

 Le Gabon notre pays a, depuis la mort de la première dame et de son époux, entreprit une démarche citoyenne qui consiste à respecter, à la lettre, les clauses édictées par notre loi fondamentale. Cependant, certains qui hier, ont fait du respect de cette même loi, une occasion de taire les velléités de certains acteurs de la société civile en manque de tribune d’expression veulent à tout prix, passer outre cette loi et défier les autorités sous prétexte qu’ils ont été anciens ministres.

 

Les manifestations et autres marches publiques sont autorisées sur l’ensemble du territoire sous réserve d’une autorisation dûment sollicitée auprès du ministère de l’Intérieur. Or, certains se plaisent d’informer uniquement la tutelle de leur détermination à manifester sans au préalable demander une autorisation. C’est ce qui s’est passé dernièrement dans un carrefour de Libreville.

 

Au vue de ces différentes agitations, on est tenté de croire et d’affirmer que certains acteurs politiques veulent créer le désordre là où il n’existe pas. Car, depuis la mort du Chef de l’Etat, notre pays, contrairement aux attentes de certains, n’est finalement pas tombé du haut en laissant le champ libre aux vendeurs d’illusion qui spéculent, en longueur des journées, sur l’avenir du pays.

 

La Constitution acceptée de tous a été respectée jusqu’alors et les candidats à la prochaine présidentielle qui voient en elle, une façon pour le Gabon, de devenir le modèle dans la sous région d’Afrique centrale en matière du respect constitutionnel, s’activent à organiser des marches et des forums sans fondement et frisent à la longue, le ridicule quand on sait que ces mêmes personnes ont occupé de hautes fonctions dans notre administration.

 

Pour le commun des Gabonais, Ali Bongo Ondimba demeure celui qui incarne l’espoir de toute une génération. C’est l’homme à la carrure d’un chef de l’Etat et au « Dos d’éléphant », comme on le dit dans nos us et coutumes.