Le candidat du Parti démocratique gabonais (PDG au pouvoir) à la prochaine élection présidentielle, Ali Bongo Ondimba a été consacré « Roi » des quartiers Akébé de Libreville, samedi, suite à une invitation des jeunes de cette partie de la capitale gabonaise qu’il avait au préalable reçue et acceptée la veille, et pour qui, il représente un réel espoir du Gabon de demain.
Aussitôt arrivé au lieu dit pont d’Akébé, le cortège du candidat Ali Bongo Ondimba a été pris d’assaut par une foule immense composée majoritairement des jeunes de toutes les couches sociales, venus voir de près, celui sur qui repose désormais leur espoir. Ali Bongo Ondimba était bien là, au milieu des jeunes, mais aussi des moins jeunes qui avaient également fermé boutiques et autres étagères de commerce pour ne pas rater l’occasion d’approcher de près, « Abo », entendez Ali Bongo Ondimba.
Après les différents mots de bienvenue par les notables et un représentant des jeune d’Akébé, le candidat du PDG qui n’en revenait pas ; compte tenu de l’accueil chaleureux et surtout de la tenue de chefferie traditionnelle dont il avait été vêtue, a dit avoir compris les « jeunes ». Ali Bongo Ondimba qui se veut, le candidat de la rupture dans la continuité a saisi l’occasion qui lui était offerte par l’interpellation de ses petits frères et sœurs pour leur annoncer que, la campagne n’étant pas encore ouverte, il ne pouvait pas parler et que, compte tenu de la circonstance, il attend revenir dans les Akébé afin de dialoguer avec ses « parents ». Abo a aussi rappelé qu’il entendait beaucoup de ses jeunes frères pour démarrer ensemble, l’édification d’un Gabon nouveau. Il a donc affirmé faire confiance à la jeunesse gabonaise pour la prise en main, des destinées du pays.
A l’endroit du représentant des jeunes qui s’est plaint du nombre trop élevé des débits de boisson dans leur quartier, Ali Bongo Ondimba a dit qu’ils en parleront ensemble et à bâtons rompus le moment venu. C’est un candidat du parti au pouvoir qui vient une fois de plus, de marquer son empreinte à quelques jours du début officiel de la campagne et aussi, par rapport aux doléances énumérées par cette frange de la population, Abo a promis que rien ne sera plus comme avant ; et que chaque gabonais devra se sentir en sécurité quel que soit l’endroit de sa résidence.
C’est naturellement dans une ambiance de grande rencontre et par une difficulté énorme que le candidat du PDG a pu se frayer un chemin au milieu d’une foule bigarrée qui souhaitait le garder pour toute la journée.
Le candidat investi par le Parti démocratique gabonais (PDG au pouvoir) à l’élection présidentielle anticipée du 30 août prochain, Ali Bongo Ondimba présentera son équipe de campagne ce jeudi à la cité de la Démocratie à Libreville.
Selon les informations émanant de son comité de campagne, ce sera l’occasion pour le candidat du PDG de donner également quelques orientations et des directives sur la manière avec laquelle il entend mener, deux semaines durant, la "bataille " à la conquête de l’électorat gabonais déjà sérieusement émietté par une pléthore de candidats.
Il faut rappeler que c’est au terme d’un processus d’élimination des candidats que, Ali Bongo Ondimba, a été retenu sur les 10 postulants à l’investiture par le PDG.
1. MBK le 30-07-2009 à 18:56:42
je suis très heureux de pouvoir partager à travers cette rubrique mon soutien au candidat ABO qui reste pour moi un candidat du changement en OR. nous jeune de cette nation aimerions que la paix, la stabilité et l'unité nationale que nous propose notre candidat luise notre très chère patrie. c'est pourquoi je vous invite mes frères à soutenir massivement notre candidat afin que le GABON reste un exemple et un tremplin pour les autres pays. pour ma part je sensibilise mes frères étudiants de faire confiance à cette jeune tête pensante afin que nous puissions rêver d'un avenir meilleurs.
Les jeunes « Alistes » et « Aliés » (partisans et supporters du candidat ALI BONGO ONDIMBA), tiennent à dénoncer la cabale orchestrée depuis quelques temps par certains « mauvais perdants » et leurs nouveaux « amis » de « l’opposition » qui, à défaut d’une argumentation fondée sur un projet de société concret, crédible et sérieux, appuyés par un bilan positif, ont plutôt opté pour une voie plus facile : La calomnie.
En effet, ces derniers ont décidé d’utiliser non seulement l’arme de l’intimidation, en misant sur des « commandos » armés qui n’hésitent pas à molester et agresser tous partisans ou supporters du candidat Ali Bongo Ondimba, dont certains faits ont d’ailleurs été relatés par un site africain d’informations grâce au témoignage de leurs correspondant ayant vécu les faits à Libreville.
Ainsi, Lorsque sur le terrain, ils usent de ces méthodes peu orthodoxes de violence physiques condamnables et indignes des valeurs républicaines d'Unité Nationale, de Démocratie, de Liberté et de Paix auxquelles aucun gabonais n'est astreint et que défendent avec ferveur certains leaders politiques de notre pays, sur la Toile c’est par une ribambelle de blog ou de groupes virtuels que nos adversaires politiques ( pourtant donneurs de leçon de démocratie) et amis d’hier s’emploient à vilipender dans un style pitoyable et par « une violence enfantine », notre candidat avec pour seul argument à la pauvreté manifeste, que ce dernier ne serait pas gabonais.
Cette cabale qui vise à déstabiliser non seulement le déroulement de notre campagne mais surtout à influencer l’opinion par un grief aussi fallacieux, n’honore ni le Gabon, ni les Gabonais, et encore moins leurs auteurs dont on imagine qu’ils agissent avec la bénédiction et sous les ordres de leurs mentors issus aussi bien des voix dissidentes du PDG que de la pseudo-opposition (devenue tristement "ethnocentrique" et adepte du repli identitaire) gabonaise actuelle.
Au sujet de cet argument fallacieux lié à la nationalité de notre Candidat, nous tenons à nous appuyer ici, sur une argumentation qui avait été précédemment et judicieusement construite par les Jeunes du PDG:
Déjà à l’occasion de la huitième édition de la journée de la Défense nationale il y a de cela quelque mois, le ministre Ali Bongo Ondimba s’exprimant sur diverses questions, avait abordé avec philosophie la question de sa nationalité et avait déclaré ne pas se préoccuper de certaines rumeurs sans fondements qui le font passer auprès de qui veut l’entendre pour un nigérian.
Nous reprenons ici quelques extraits de cette intervention aux termes de laquelle notre candidat et ministre de la défense a démontré le caractère infondé de ces propos :
« Évidemment qu’étant ministre de la Défense, c’est sûr que j’ai été informé de quelques allégations. Certaines prétendent que je serais nigérian? Tout ce que j’ai envie de dire, c’est que, ce n’est vraiment pas quelque chose qui me préoccupe.
Moi, je n’ai rien à prouver. Je sais qui je suis, je dis simplement qu’à ce niveau, la situation est quand même triste. L’insulte n’est pas faite à moi, elle est faite à mes parents car c’est grâce à eux que je suis aujourd’hui, là où je suis. C’est à eux que la question doit être posée. Il y a suffisamment de Gabonais qui m’ont vu, même depuis l’âge de 8 ans.
Tout ce que je
sais, c’est que je suis né à Brazzaville en 1959. Ceux qui disent ce genre de
choses ne connaissent pas l’histoire. La guerre du Biafra a commencé en 1967 et
moi je suis né en 1959. Quand je suis né, le Nigeria n’était même pas
indépendant avant de l’être l’année suivante. Donc quand la guerre du Biafra
commence, j’avais déjà 8 ans. » Fin de citation.
Depuis cette intervention qui a relégué ces rumeurs au rang de pures fadaises, mais aussi, suite aux déclarations de la diva de la musique gabonaise désormais connue sous le nom de Patience Dabany, il semblerait que les partisans du «oui Ali est biafrais » aient changé de cheval de bataille et les félons aux doigts acérés qui, hier, le traitaient de nigérian semblaient à la suite de ces déclarations, vouloir encore aujourd’hui endormir nos intelligences avec une autre supercherie.
Ainsi, Ali Bongo Ondimba qui longtemps considéré par certains comme un Nigérian, précisément un Biafrais, serait, suite à de récentes élucubrations abracadabrantes depuis peu, devenu congolais.
Nous ne répondrons pas aux gesticulations grotesques de certains qui semblent ignorer les règles de base de la discussion et qui, comme des enfants de la maternelle voulant attirer l’attention d’adultes débattant de sujets sérieux, crient et écrivent sans en apporter la preuve : « ALI BONGO EST UN ENFANT ADOPTE, PATIENCE DABANY N’A JAMAIS EU D’ENFANT ».
Considérant que ces derniers se discréditent eux même par l’absence de profondeur de leurs écrits et du vieux refrain sans preuves tangibles qu’ils scandent comme un slogan, il nous a semblé bon de nous pencher sur les arguments de ceux qui ont inventé cette nouvelle théorie tout de même digne de paparazzis en mal de sensationnel.
Nous ne nous attarderons pas davantage sur ces diversions de « cyber-détracteurs » qui étendent l’amalgame au fait que certains membres de la famille présidentielle aient changé de nom suite à leur conversion à l’islam, alors que ces individus mal intentionnés alimentent les sites qu’ils ont créés avec des milliers de noms d’emprunts.
Pour certains satires, Ali Bongo Ondimba serait donc devenu de nationalité congolaise et ce, sur la base des propos de la « mama » elle-même.
Chers compatriotes, durant l’antiquité les penseurs de ce temps avaient inventé certains raisonnements appelés syllogismes qui ont été remis en cause par leurs successeurs en prouvant leur insuffisance criante.
Ces syllogismes, encore appelés calculs, contenaient trois propositions: une majeure, une mineure et une conclusion.
Lorsqu’ils pouvaient s’avérer logiques, ils pouvaient souvent également s’avérer totalement aberrants.
En voici deux exemples :
L’exemple logique
1- tous les hommes sont mortels. (majeure)
2- Socrate est un homme (mineure)
3- donc Socrate est mortel (conclusion)
L’exemple aberrant
1-Tous les hommes sont des grecs (majeure)
2-Mohamed Ali est un homme (mineure)
3-Donc Mohamed Ali est un grec (conclusion)
Ce sont ces raisonnements archaïques d’un autre âge que certains ont utilisé aujourd’hui pour fonder leur argumentation que voici :
1- Ali Bongo Ondimba est né en 1959 au Congo, donc il est congolais (ce qui signifie également que toute personne née dans les régions de l’Afrique Equatoriale Française qui ne font pas partie intégrante du Gabon actuel, mais dont les père et mère sont issus des régions qui constituent actuellement le Gabon, obtient la nationalité de l’Etat de sa naissance et donc n’est pas gabonaise).
2- Ali Bongo Ondimba est né congolais, donc il ne peut être président du Gabon, (tout gabonais né à l’étranger ne peut être président de la République)
3- Patience Dabany dit que son fils est né au Congo donc Patience Dabany et Omar Bongo Ondimba sont congolais (toute personne déclarant que ses enfants sont nés à l’étranger est donc automatiquement étrangère).
Suite à ce genre de raisonnement dignes de la préhistoire, et refusant que certains se perdent par ignorance, il nous a semblé bon de rajouter à ce qui a été considéré comme un cours d’histoire par certains, quelques rudiments juridiques et d’opposer à la rigueur du droit, ces logiques à l’emporte pièce.
1- Ali Ben Bongo Ondimba est né au Congo, donc il est congolais.
L’histoire du Gabon nous enseigne qu’Albert-Bernard Bongo est né le 30 décembre 1935 à Lewai, maintenant rebaptisée Bongoville, dans la province du haut- Ogooué située au Gabon.
Que Patience Marie Joséphine Kama Dabany est originaire d’Akiéni, Chef lieu du département de Lékoni-Lekori dans la province du Haut-Ogooué, bien que née, elle-même à Brazzaville en 1944, ancienne capitale de l’Afrique Equatoriale Française de l’époque, aussi proche de Franceville que Bitam l’est des villes camerounaises qui lui sont frontalières.
En matière de nationalité, le peuple gabonais est régi par le code de la nationalité gabonaise issu de la loi numéro 89/61 du 2 mars 1962 modifiée par une loi de 1998.
Ce code stipule que la nationalité est le lien de droit qui, depuis le 17 août 1960 date de l’accession du Gabon à la souveraineté internationale, rattache les personnes à l’Etat gabonais.
L’article 4 du titre 1 de cette loi, détermine en son alinéa premier, les personnes qui, dès leur naissance ont la nationalité gabonaise à titre de nationalité d’origine.
Ainsi, cet article dispose ce qui suit : « possède la nationalité gabonaise à titre de nationalité d’origine, l’enfant qui, au jour de sa naissance et quel que soit le lieu de celle-ci a un parent au moins de nationalité gabonaise. »
Maman Patience Dabany a confirmé avoir mis au monde l’actuel Ministre de la Défense, le 9 février 1959.
Dans notre droit civil gabonais qui, pendant longtemps était calqué du droit civil français, la charge de la preuve (qui doit prouver un fait), appartient à celui qui veut établir un fait ou un droit. Trêve de débats stériles.
Que celui qui conteste le fait que le Ministre de la Défense est le fils de Patience Dabany en apporte la preuve « parfaite » (acte écrit, aveu judiciaire, serment décisoire), sachant qu’Ali Bongo Ondimba et les siens peuvent eux, de leur côté les fournir.
S’il peut sans aucun doute être établi qu’Ali Bongo Ondimba est de père et de mère Gabonais, ce dernier est donc assurément gabonais.
2- Ali Bongo est né congolais, donc il ne peut être Président du Gabon, (tout gabonais né à l’étranger ne peut être Président de la République)
Chers compatriotes, venant de démontrer précédemment qu’Ali Bongo Ondimba ou Alain Bernard Bongo Ondimba était de père et de mère gabonaise et par conséquent de nationalité gabonaise en vertu de nos textes de loi, cette seconde allégation ne repose plus sur aucun fondement mais entraîne un véritable problème car elle aurait pour conséquence que toute personne née de parents originaires du Gabon et résident en terre étrangère notamment dans le cadre de leurs activité professionnelle ne serait pas gabonaise.
Ainsi, tout membre de la diaspora Gabonaise ayant conservé sa nationalité d’origine, (comme ceux qui se considèrent notamment en exil au Etats-Unis ou en France) et qui met au monde ses enfants en terre étrangère, dans son pays d’accueil voit automatiquement ses enfants perdre la nationalité gabonaise qui leur est due de plein droit ?
Par ailleurs avant que les frontières entre Etat ne soient délimitées, nombreux sont les camerounais, gabonais, centrafricains, qui allaient à Brazzaville, qui pour faire leurs études, qui pour travailler…
Aux dires de certains, seuls les gabonais qui s’y sont rendus auraient perdu leur nationalité (????, c’est quand même drôle tout ça !).
3- Patience Dabany dit que son fils est né au Congo donc Patience Dabany et Omar Bongo sont congolais (toute personne déclarant que ses enfants sont nés à l’étranger est donc automatiquement étrangère).
Chers compatriotes, tirez vous-même les leçons de cette logique arriérée.
Toute personne qui déclarerait, « mon enfant est né soit en France, soit au Mali, soit en Chine », se verrait donc automatiquement taxée de non Gabonais. Trêve de plaisanteries !
Cessons ces futilités qui visent à contester la citoyenneté d’un seul individu et qui, comme dans bon nombre d’Etats pourraient avoir pour conséquence de pénaliser le plus grand nombre, par un changement restrictif de notre code de la nationalité, en y insérant la « Gabonité » dont les effets pervers ont, dans un passé récent divisé la Côte d'Ivoire.
Que les détracteurs du Ministre de la Défense Nationale de notre pays et actuel candidat à la présidentielle anticipée qui, lors de sa dernière intervention a exprimé le fair-play avec lequel il prenait ces attaques répétées, utilisent d’autres arguments de préférence irréfutables, pour démontrer son incompatibilité avec la Magistrature Suprême, ou alors qu’ils nous fournissent au moins les commencements de preuve dont ils sont si friands quand ils doivent, lors de leurs querelles intestines se dénoncer pour dire lequel d’entre eux dirige un parti fantoche.
Ine fine, nous vous invitons à méditer sur cette maxime de Romains Louis Farigoule : Les Grands esprits d’élites discutent des idées, les esprits moyens des événements, et les esprits médiocres des personnes.
Par conséquent, si ce qu’ils ont a répondre n’est pas plus important que le silence, alors que ces détracteurs se taisent à jamais !
Patriotiquement,
L'UNION DES JEUNES DU PARTI DEMOCRATIQUE GABONAIS EN France ; Les comités de soutien à ALI BONGO ONDIMBA, La Coordination des Jeunes « ALISTES » et « ALIES » de France et l'ensemble des supporters d'ALI BONGO ONDIMBA.
Au cours de la rencontre qu’il a eue avec les femmes de l’Union des femmes du Parti démocratique gabonais (UFPDG) et celles des partis de la majorité présidentielle dimanche dernier, le candidat Ali Bongo Ondimba, investi par le PDG a promis de faire construire 5000 logements par an au Gabon, afin de donner un habitat décent à chaque citoyen.
L’actuel ministre de la Défense nationale dans le gouvernement dirigé par Paul Biyoghé Mba et candidat à l’élection présidentielle du 30 août prochain, a dit pouvoir réaliser cette promesse par les efforts déjà consentis par le département dont il a la charge dans la construction de certains ouvrages et aussi, sur la capacité et la détermination des pouvoirs publics à mettre en place une véritable politique d’habitat social.
Ali Bongo Ondimba qui sait, plus que quiconque, les mécanismes liés à la réalisation des ouvrages destinés au bien-être des populations, a pris le ferme engagement, de doter chaque gabonais, d’un logement digne de ce nom. Pour lui, 5000 logements par an, c’est réalisable dans notre pays. Il suffit, a-t-il déclaré, que chacun se mette réellement au travail, sans qu’on soit obligé d’être derrière lui.
Le candidat de l’espoir et des jeunes en veut pour preuve, la construction par les services du génie militaire, des axes routiers dans certains pays de la sous-région d’Afrique centrale. Aussi, le porte –parole de la majorité présidentielle à cette consultation souhaite, pour ce qui est de l’habitat au Gabon, en faire une priorité dans son programme de société. Un plan qui s’alignerait, selon ses propos, dans la suite de celui proposé par le chef de l’Etat défunt, Omar Bongo Ondimba.
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